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Activités
28-29-30-31/5 et 1/6/2009 Porte des Etoiles - Plombières les Dijon Désobstruction
Un peu d'histoire, cela ne fait pas de mal ...


La Pentecôte Heures d'Étienne Chevalier, enluminées par Jean Fouquet Musée Condé, Chantilly, R.-G. Ojeda, RMN / musée Condé, Chantilly
Pour Jean Fouquet, le blanc a une forte signification de pureté et de purification.
Ainsi, la Pentecôte est située dans un cénacle à l'italienne en camaïeu blanc, avec des pilastres antiques, des fenêtres rectangulaires et une abside à coquille.
La voûte en berceau surbaissé, en bois, est d'une conception française. Un blanc particulièrement éclatant attire le regard vers le Saint-Esprit, la guimpe de la Vierge et le jeune apôtre, saint Jean, assis à droite.


JEUDI 28 MAI – Après midi
Présents : J-Louis Mérelle et Laurent Garnier
Rendez vous au Loft pour charger le matériel. Par la même occasion, nous réfléchissons sur la conception d’une chèvre pliante et modulable.
Le matériel chargé dans le 806 et la remorque, Laurent part l’installer à la PDE pendant que J-Louis fonce louer le matériel que nous devons utiliser durant ce grand week-end de 4 jours.
A 19 h 30, l’eau est pompée et nous quittons les lieux pour rejoindre nos chaumières. Laurent fait un détour par chez Claude pour lui emprunter son groupe électrogène et passe ensuite chez Florent chercher les tuyaux du compresseur.
Projet de chêvre démontable et repliable



VENDREDI 29 MAI
Présents : J-Louis / Laurent
Nous sommes là de bonne heure car il reste encore pas mal de travail de préparation et la manche à air à réparer.
Le fond est une nouvelle fois gorgé d’eau. Il est 11 h lorsque nous commençons notre travail de burinage.
Dans un environnement poussiéreux, balayé par la ventilation qui devient poussive du fait de la longueur et des coudes de la gaine, nous arrêtons notre travail vers 12h45 pour prendre notre collation bien méritée.
De retour au fond, quelques minutes après avoir repris le travail, c’est une nouvelle malchance qui tombe sur ce chantier de longue haleine : le fleuret tordu que Patoch nous avait donné et que nous avions péniblement redresser, se casse net en 3 morceaux : pas de chance, nous n’avons que celui-ci en 1 m de long. Aussitôt l’un d’entre nous part chez le loueur. L’aller et retour gâche un peu notre après-midi déjà bien entamé…..
Après plus d’une heure de voyage, nous reprenons avec acharnement notre travail pour « donner du grain à moudre » aux troupes qui débarquerons demain matin.
Nous sortons tardivement mais pleinement satisfait du travail accompli : 2 x 8 trous.


SAMEDI 30 MAI
Présents : Thierry / Pierre M. / Thomas / François P. / J-Louis / Laurent
Nous entamons la 3ème journée avec un effectif, certes léger, mais qui nous permet tout de même, avec un peu de peine, de remonter et véhiculer les gravats d’une seule traite sur la terrasse où nous profiterons de notre « traditionnel » barbecue du soir.
Dès 8 h 45, le groupe tourne.
A notre descente, nous vérifions consciencieusement l’état de l’ensemble du matériel. Le rail et la gaine de ventilation ont souffert copieusement.
Pendant que les uns nettoient la galerie, les autre s’attellent au cintrage du rail et à la soudure. Cette petite affaire durera jusqu’en milieu de matinée pour tout reconstruire correctement.
A 13 h, tout n’est pas encore ressorti : il en reste presque autant. Nous n’avons pas comptabilisé le nombre de brouettes mais la quantité était au rendez-vous car le nettoyage a bien duré 4 h.
La malchance est une nouvelle fois de la partie : le compresseur tombe en panne sèche. Avant de nous en servir, nous n’avons pas vérifier les niveaux, faisant confiance au loueur à moins que cet outil ne consomme plus que le précédent. C’est une nouvelle heure de plus de perdue pour ce week-end qui devient maudit.
Lorsque nous ressortons, à plus de 21 h, le barbecue est prêt, les tables mises, la braise rougeoie et la bonne odeur de viande grillée nous met l’eau à la bouche.
Pendant que nous achevions le travail du jour, Joëlle, Benjamin, Clément et Florence sont arrivés pour préparer le bivouac et les festivités de la soirée qui se terminera tardivement ou tôt le matin après avoir soldé tous les liquides fermetés ou distillés...
Le feu (du barbecue) alimenté en permanence a, comme toujours, quelque chose de magique et révélateur du bien-être de se retrouver et laisser vagabonder notre bonne humeur.
Pour les enfants, "Le jeu des 7 Lolos"
Cliquez l'image pour l'agrandir et cherchez les 7 petits Lolos...



DIMANCHE 31 MAI
Présents : Joëlle / Benjamin / Florence / Clément / Pierre M. / Patoch / François B. / Thierry et son fils, Nicolas / Simon « l’autre » / J-Louis / Laurent
C’est un petit matin qui commence par un réveil difficile…. Nous nous laissons un peu de temps pour contempler la montée du soleil.
Nous avons terminé le travail de la veille avant midi en prenant soin de réparer les fuites de la gaine souple de ventilation. Cette dernière sera changée pour le prochain exercice.
Nous vidangeons, à nouveau, durant 4 heures.
Nous avons la visite de Anne-Ma, Ophélie, Yves et Simone (les parents de Flo) ainsi que du propriétaire (et son épouse) du groupe 6 kw.
Pour une fois, la journée de travail se termine de bonne heure.
Nous ne nous éternisons pas devant le feu et nous regagnons, pour la 2ème nuit, notre chambre étoilée.



LUNDI 1er JUIN
Présents : Pierre M. / Thierry / Patoch / Vincent / J-Louis / Laurent
Le fonds est propre. Les rampes de forage et le perforateur sont en place. Il ne reste plus qu’à mettre l’air. Une petite modification sur un fleuret sera tout de même nécessaire.
Dès les 9 h, le compresseur est en route, nous pouvons percer nos sondages de plafond à 2.5 m.
Une fois de plus, nous ne découvrirons pas la fissure tant attendue. Nous regrettons de ne pas avoir de quoi percer plus profondément.
Le travail de perçage se termine vers 17 h après 19 m de trous percés.

Laurent et JLouis
Nous sommes actuellement à une profondeur de 26 m.


Ci-dessous la courbe Temps/Profondeur que je vous avez déjà présenté en 2008. Il y a deux courbes de tendance en bleu et rouge calculées automatiquement par le programme Excel.
La courbe bleu (linéaire) représente la tendance si nous étions également efficace à une vitesse constante d'environ 4 mètres par an.
La courbe rouge (polynomiale) est plus proche de la réalité car elle tient compte de l'augmentation de la difficulté à creuser.
Il ne tient qu'à nous tous de rejoindre, voire dépasser la courbe bleu ...


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