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14/4/2007 Local SSF - Parc récréatif Toison d'Or Le point sur la médicalisation au SSF21
Présents :
Dr H. Roy, Dr F.Brassaud, P.Bolard, JL.Mérelle, Oph. & P.Maitrejean , F.Beaucaire, JM. & P.Chaput, S.Claerbout, J.Michel.
En fin de journée : L. Barbier, B. Bernard.


Ordre du jour :
1) Le point sur la médicalisation au SSF 21 :
a) Constat de la situation :
H.Roy ne peut pas s'impliquer plus qu'il ne le fait aujourd'hui mais nous assure de son soutien et de toute l'aide matériel entre autre) qu'il peut nous apporter.
F. Brassaud est prêt à s'investir mais également dans la limite de sa disponibilité et de ses compétences.
En résumé nous ne sommes pas sans médecin mais il devient nécessaire d'en chercher d'autres.
b) Actions envisagées :
H.Roy va voir auprès de ses collègues du SAMU s'il y a un intérêt pour nos opérations mais précise qu'en l'absence de secours réels la motivation est difficile à trouver. En revanche les médecins urgentistes sont beaucoup plus sédentaires qu'autrefois, ce qui n'est pas le cas pour un recrutement via les formations d'infirmières.
Les participants s'engagent à mener diverses démarches pour solliciter d'autres médecins dans leur entourage proche et peut être dans d'autres associations (Dijon-plongée?).
Cette recherche doit être élargie aux professions "para-médicales" : Ambulanciers, infirmiers, etc…(Ex. le compagnon de V.Fiers).
Le débat s'ouvre sur les limites de compétences des sauveteurs-secouristes du SSF21 et il est décidé de lancer une formation secourisme auprès des adhérents du SSF21.
H.Roy nous fera une proposition en terme de date, de durée, de contenu et de coût. Il nous propose également son aide pour constituer un dossier orienté "demande de subventions".
L'accent est mis sur le fait que cette formation doit être adaptée aux particularités du milieu dans lequel nous évoluons.
Un débat technique s'engage sur l'utilisation de l'oxygène dans les accidents de plongée et la nécessité de nous équiper de "Lunette" plutôt que de penser à poser une sonde nasale.


2) Matériel médical :
H.Roy confirme que le matériel conditionné en kits (blancs) il y a quelques années est toujours en état et prêt à intervenir. Ce matériel est entreposé au SAMU 21 qui en assure la maintenance.
Nous pouvons donc en disposer totalement en cas d'intervention réelle.
Un Propaq pourra également être mis à notre disposition en remplacement de celui que nous possédons et qui est HS. A ce sujet Hervé va voir avec les commerciaux de la société distributrice de ce matériel ce qu'il est envisageable de faire pour une éventuelle remise en état. Il reprendra contact avec JL.Mérelle s'il y a une possibilité.
Avec ce que nous apporte aujourd'hui Hervé, P. Bolard nous annonce que le matériel ASV post-siphon est complet et opérationnel, il en profite pour déployer ce matériel et le présenter à ceux qui ne le connaissent pas encore.


3) Formation CUMP (Cellule d'Urgence Médico Psychologique) :
H. Roy nous confirme que cette formation peut avoir lieu avec les responsables de la CUMP.
Le thème principal qui sera présenté est en rapport avec la gestion du stress des sauveteurs. Cette séance devrait durer environ 2 heures.
Elle se déroulera un jeudi soir, sur une date que nous pouvons choisir à partir du 24 Mai (et si possible avant le 28 juin). Il est souhaitable d'avoir un maximum de participants et qu'ils préparent leurs questions en se reposant si possible sur des exemples concrets.


4) Civière-plongée :
A la demande du SSF national nous sommes chargés de faire évoluer le vêtement de la civière-plongée afin qu'il puisse prendre en compte l'immobilisation de l'axe "tronc-cou" d'une victime.
Un travail à été réalisé et a mené à la fabrication d'un prototype, celui-ci est présenté à H.Roy qui valide l'idée de l'utilisation du ferno-ked et d'une minerve en complément pour réaliser cette immobilisation.
Un débat s'engage sur la mise en place du blessé dans le vêtement et sur la possibilité de positionner la ou les fermetures éclairs.
Le sujet est reporté en fin de séance pour libérer H.Roy que nous remercions de son aide et de mettre à notre service ses compétences.


4 bis) Vêtement de la civière-plongée : suite
Un groupe de travail se penche sur la question et imagine de positionner un "plastron rabattable" en néoprène, qui intègre par collage le masque facial. Cette partie du vêtement sera mise en place en dernier grâce à une fermeture éclair et à l'accrochage du masque par une araignée extérieure. La conception du sarcophage est gardée, dans ce prototype elle inclue maintenant la tête (cagoule) supprimant ainsi tout problème de collerette. L'ouverture "intégrale" sur le pourtour est conservée (Voir croquis joint).
Le vêtement opérationnel actuel (orange) "pourrait" être utilisé pour cette transformation.
Le premier prototype réalisé est "archivé" et JM. Chaput s'engage à en réaliser un second selon les critères retenus aujourd'hui.
Cette réalisation doit être achevée d'ici deux à trois semaines maximum, il devra rester évolutif.



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